
CONCEPTUEL
INTRIGUE NOCTURNE
Dans cette série artistique, les paysages nocturnes se dévoilent comme des tableaux mystérieux, invitant le spectateur à une réflexion introspective. Les ombres jouent avec la lumière, créant des ambiances glauques et étranges qui suscitent un sentiment d'insécurité palpable. Chaque œuvre plonge le regard dans une atmosphère d'incertitude où l'inconnu devient omniprésent. Ces paysages, à la fois fascinants et troublants, révèlent la beauté troublante de l'obscurité, tout en évoquant la solitude et l'isolement inhérents à l'expérience humaine. Le spectateur, en explorant ces images, est confronté à ses propres peurs et à ses interprétations personnelles, transformant chaque regard en une aventure unique.
































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J’ai toujours eu une fascination pour les ambiances sombres, glauques qui délivrent une atmosphère inquiétante et angoissante. Cette fascination, nourrie par l’influence du cinéma hitchcockien et différents films noirs, m'a poussé à capturer l'essence de ces instants étranges, baignée dans une aura surnaturelle. Dans ma série, réalisée principalement à Matane, une petite ville isolée du Bas-Saint-Laurent au Québec, j'ai tenté de retranscrire la beauté troublante de ce lieu, où chaque ombre semble raconter une histoire cachée. Les paysages vides et l'atmosphère pesante de cette ville se mêlent pour créer un décor idéal, où la frontière entre le réel et l'imaginaire se brouille, offrant ainsi un terrain fertile pour l'émergence du mystère.
Dans cette série visuelle, j’ai opté pour un traitement en couleur au format 1,85:1 qui ouvre la porte à une expérience cinématographique immersive. Le choix d’un virage bleu cyan dans les hautes et basses lumières crée une ambiance à la fois apaisante et oppressante, évoquant une profondeur émotionnelle intense. Les bords sombres qui entourent chaque image renforcent le sentiment d’enfermement, suggérant que le spectateur se trouve piégé dans un rêve troublant, sans échappatoire possible. Cette esthétique vise à plonger le public dans une réflexion sur la perception de la réalité et la lutte intérieure, où chaque scène devient une exploration visuelle de l’angoisse et du désir de liberté. Les nuances de couleur et les contrastes jouent un rôle central dans la narration, invitant à une contemplation prolongée et immersive.
























SOLITARIS
Cette série explore l’étrange vacuité des centres commerciaux, ces lieux conçus pour l’afflux constant de foules mais soudain privés de leur raison d’être. Les espaces architecturaux y apparaissent sous un jour spectral : géométries répétitives, lumières froides et artificielles, couloirs impeccablement ordonnés mais désertés. La lumière, presque fantomatique, transforme ces intérieurs familiers en décors irréels, comme si la fonction même du lieu avait été suspendue.
Dans ce silence imposé, les centres commerciaux deviennent des non-lieux, vidés de leur usage social et révélés sous leur dimension la plus abstraite. La pandémie, en provoquant la fermeture brutale de nombreux commerces, a mis en lumière la fragilité de ces temples de consommation : autrefois saturés de présence humaine, ils se sont retrouvés du jour au lendemain figés, immobiles, en attente.
Cette série propose ainsi une réflexion sur la manière dont l’absence peut révéler ce que la présence dissimule. En exposant ces architectures comme autant de coquilles vides, elle interroge notre rapport à la consommation, à la fréquentation des espaces publics, et à la solitude qui émerge lorsque le quotidien s’interrompt. L’anodin devient étrange, le familier devient lointain, et le centre commercial se transforme en paysage conceptuel où résonne la mémoire d’un monde encore vibrant, mais momentanément effacé.
INTEMPOREL












Dans cette série de mises en scène, un homme mystérieux, à la tête de pendule, erre tel un fantôme dans les corridors d’un lieu laissé à l’abandon. Les lieux avant d’être abandonnés étaient entretenus et vivants. Mais suite à un évènement tragique, un accident, une faillite, une catastrophe naturelle, les lieux sont soudainement abandonnés et basculent dans un univers parallèle où le temps semble arrêté. Cette juxtaposition entre l'homme pendule et son environnement soulève des questions profondes sur la mémoire et l'oubli, rendant chaque image d'autant plus poignante.
VIRAGE VIRTUEL








